Source : baromètre FNAIM - Publication : mysweetimmo.com
Les ventes sont en baisse en France, de 5,4% sur un an. Considérés sur un an, les prix sont eux, encore en hausse, mais en avril, ils poursuivent leur tendance baissière : - 0,3%. Sur un an, ils ont baissé à Paris, Nantes, Lyon et Toulouse, mais le Sud Est résiste mieux.
Les prix sont en hausse de 1,5% par rapport au 4ème trimestre 2022 et de 4,3% sur un an. Si Paris et l’ile de France marquent le pas, c’est toujours avec une évolution légèrement positive, et à l’exception de Lyon, l’ensemble du marché reste bien orienté. Toutefois, les menaces (taux d’intérêt, acces au crédit , inflation …) demeurent très présentes.
Source : Baromètre Guy Hoquet immobilier - Publication : mysweetimmo.com
Les prix des loyers lyonnais ne suivent pas forcément la hiérarchie des prix d’achat dans les différents arrondissements. Les loyers moyens s’étagent de 1191 € (dans le 6ème arrdt) à 658 € (dans le 8ème arrdt). L’encadrement des loyers, en vigueur à Lyon intervient dans ces tarifs de location ainsi que dans les ‘’curiosités’’ qu’on peut y observer.
Source : L’observatoire Interkab des agents immobiliers indépendants - Publication : actu.fr
Le marché et les prix se maintiennent, à Salbris comme à Lamotte-Beuvron. Les primo accédants y sont en difficulté du fait de la hausse des taux et de la baisse des prix qui tarde à s’affirmer. Les prix moyens s’étagent entre 1700 et 1200 €/m².
Source : Century 21-Sologne immobilier - Publication : lanouvellerepublique.fr
Les acheteurs voient leurs ambitions contrariées par l’inflation, la hausse des taux, et les exigences des banques ; Plus d’un sur dix prévoit quand même un achat en 2023 mais ils sont plus circonspects, et les primo accédants, eux, attendent des jours meilleurs. Les prix commencent à s’adapter au constat suivant : Les transactions ont reculé, de 7% depuis le début de l’année, de 11% en un an.
Source : Réseau Laforêt - Publication : actu.fr
Paris -5% ; Lyon -7% ; Bordeaux – 10% : la baisse au premier trimestre concerne huit des dix plus grandes métropoles.
Les primo-accédants faisant face aux difficultés d’accès au crédit, le marché est en repli et ce sont les secundo-accédants qui l’animent.
Mais les prix continuent de progresser dans les villes moyennes, où le marché reste dynamique.
Source : Réseau Orpi - Publication : magnolia.fr
Après l’année 2022 marquée par une hausse des prix de 9% et un léger tassement des ventes, 2023 voit se préciser les difficultés sur le chemin des acheteurs et, en conséquence, une tendance à la baisse des prix. On observe aujourd’hui un prix moyen de 185 000€ pour une maison ancienne à Limoges.
Source : observatoire de l’immobilier - Publication : lepopulaire.fr
La baisse, amorcée en fin 2022 est de 1% pour le 1er trimestre 2023. Le contexte va faire s’accentuer encore ce mouvement, qui a déjà conduit à une baisse importante .des transactions. La cause : la hausse des taux d’intérêt qui obère le ‘’pouvoir d’achat immobilier’’ des français. Retrouver un marché tonique exigera une baisse des prix progressive de 10 à 15% en 2023.
Source : Réseau Century 21 - Publication : boursorama.com
L’ambiance baissière n’a pas cours à Sant Malo, après une hausse pour l’année 2022 de 13,2%.
Les biens à vendre y sont rares et selon les quartiers, les prix peuvent dépasser, si la mer est proche, plusieurs millions d’euros. Une vingtaine de programmes neufs sont en cours.
Source : Chambre de Notaires de Bretagne - Publication : lemonde.fr
Un marché immobilier prospère et serein : Poitiers. Les prix ont profité des hausses des dernières années, dans une atmosphère euphorique, et ils continuent à progresser à 2,8% sur le premier trimestre, mieux que l’année précédente.
Source : FNAIM - Publication : my-angers.info
