Source : l'Office fédéral des statistiques allemand
Publication : bfmtv.com
En Allemagne aussi, la hausse des taux d’intérêt et les restrictions au crédit se répercutent sur les ventes, et la baisse des ventes sur les prix, lesquels fléchissent pour la première fois depuis 2010. Dans l’ensemble de la zone Euro, les prêts au logement ont reculé ont reculé et l’accession au crédit ne devrait pas se simplifier en 2023.
Source : Observatoire Clameur
Publication : leparisien.fr
Les loyers augmentent eux aussi, mais raisonnablement. En lisant cet article, on peut connaitre le montant moyen et l’évolution des loyers, partout sur le territoire, en fonction de la taille, du type de logement, de la région et de la ville. Paris affiche, sans surprise, les loyers les plus élevés, mais plutôt à la baisse. Partout ailleurs, l’augmentation se chiffre entre 1,21 et 1,39 % en 2022.
Source : Groupe Daniel Féau
Publication : lemonde.fr
La ‘’niche’’ des biens de luxe et d’ultra-luxe reste en marge des fluctuations du marché immobilier. Le seul mouvement qu’elle connaisse va vers le haut : les biens vendus 40 000 €/m² voire plus ne sont pas exceptionnels. Paris est en tête parmi les quelques villes les plus recherchées au monde et les acheteurs, souvent étrangers, ne sont pas touchés par les turbulences financières …
Source : Chambre des Notaires de l’Aude
Publication : actu.fr
Sur la dynamique de 2022, les prix ont monté significativement dans ce département, à Narbonne, Carcassonne comme sur le littoral, pour les maisons comme les appartements. Les terrains à bâtir, eux, font l’objet d’une augmentation très spectaculaire. Cette hausse et l’accès resserré au crédit sont les responsables de la contraction du marché en ce début 2023.
Source : LocService.fr
Publication : actu.fr
La baisse des prix de vente qui touche Paris se répercute sur les loyers. Mais les prix à la location, s’ils baissent, un peu, sont toujours en moyenne 160% plus chers qu’en région. Et les quartiers les plus centraux demeurent les plus chers, la palme revenant au 4ème arrondissement.
Source : Réseau Orpi
Publication : bienpublic.com
Le mouvement est sensible partout et dans des proportions notables.: dans le Nord, dans les Alpes, dans l’Ouest,… Si certaines métropoles et villes moyennes continuent de surfer sur la vague de la hausse, partout les marges de négociation progressent.
Source : étude Xerfi
Publication : journaldelagence.com
Durant ces dernières années le marché immobilier associait l’envie des acheteurs à des conditions de marché favorables ; le nombre de transactions montait, les prix aussi, à la satisfaction générale. Si l’on en croit l’étude que détaille cet article, ces beaux jours s’enfuient : le nombre de transactions devrait baisser sensiblement en 2023, et pour de bonnes raisons.
Source : étude SeLoger
Publication : europe1.fr
Prix en baisse, mais taux d’intérêt en hausse et conditions de crédit plus exigeantes : Le moment est-il bien choisi, en particulier pour les primo-accédants ? Si les locataires en rêvent presque tous, rares sont ceux qui se disent prêts à concrétiser. Les arguments ne manquent pas, en fait, soit pour l’attentisme, soit vers l’audace … Cette étude les répertorie.
Source : baromètre Pandaloc
Publication : immomatin.com
Les locations suivent à leur rythme propre le mouvement du marché immobilier : selon cette étude s’appuyant sur l’examen de 50 000 annonces, les loyers marquent une baisse à Paris et sa région, mais en contraste, une hausse dans les autres métropoles.
Source : Meilleurs Agents
Publication : msn.com
Dans toutes les villes françaises, et aussi dans les communes rurales, la décrue se constate, à hauteur de 0,2% au niveau national. Seules quelques grandes villes se détachent du mouvement général avec des hausses pouvant dépasser les 3%. Autre signe d’un reflux du marché, les prêts bancaires, en baisse significative durant l’année 2022.
